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Le rameur Charles Hedrich stoppé par la banquise

Reparti à l’assaut du passage du Nord-Ouest à la rame au début de l’été, Charles Hedrich a dû se résoudre à arrêter son périple, bloqué par l’arrivée en force de l’hiver, à 1000 km de son but. C’est à Taloyoak, un des villages les plus au nord du Canada, et après plus de 5000 kilomètres parcourus, que l’aventurier a laissé une deuxième fois son embarcation hiverner. « Il y a longtemps que la banquise ne s’était pas reformée aussi tôt dans cette région au-delà du cercle polaire », explique Patricia Hedrich. « Le bateau de Charles peut se transformer en traîneau sur des centaines de mètres, mais pas sur 200 kilomètres de glace compacte ! ».

Charles Hedrich vient donc de rentrer à Paris. Celui qui viendra sûrement se ressourcer quelques jours à Saint-Nicolas-de-Véroce, près de Saint-Gervais-Mont-Blanc, repartira finir son expédition l’année prochaine. D’ici là, cet insatiable chasseur de record a plein d’autres défis en vu. Il souhaite notamment réaliser une nouvelle première mondiale, la traversée du désert d’Atacama au Chili en autonomie complète. Un autre milieu extrême, mais aride celui-là !

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