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Quatre questions à Edgar Grospiron

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actumontagne.com : Vous avez été chef de la délégation française aux premiers JO d’hiver de la jeunesse en janvier 2012 à Innsbruck. Une expérience importante ?
E.G : Oui. Ce qui m’intéresse, c’est effectivement d’être au plus près des athlètes. Lorsque le CSNOSF (Comité national olympique et sportif français) m’a demandé si je voulais être le chef de la délégation française, j’ai tout de suite accepté, car c’était très important de vivre cette première édition. Important pour bien comprendre ce que les jeunes athlètes aiment, n’aiment pas. Mon rôle relevait du transfert d’expérience bien sûr, mais consistait aussi à créer une dynamique au sein des équipes et à faire comprendre à chaque athlète qu’il y a quelque chose de plus grand qu’eux, qui s’appelle l’équipe de France olympique.

actumontagne.com : Vous avez été sollicité par Jacques Rogge, président du CIO, pour rejoindre la commission de coordination des JO d’hiver de 2018 de Pyeongchang en 2018 en Corée.  Un pas de plus vers le CIO ?
E.G : Cette commission qui supervise et assiste les comités d’organisation des Jeux, est composée de quinze membres, dont quatre athlètes. L’intégrer s’inscrit dans la suite logique de mon histoire avec les JO, entamée à Calgary, poursuivie à Albertville, puis encore à Lillehammer, et plus récemment avec la candidature d’Annecy, et la conduite de la délégation tricolore aux JOJ d’Innsbruck. Des expériences qui m’ont enrichies, où j’ai acquis des compétences que je compte bien développer encore au sein de la commission de coordination des JO de Pyeongchang avant de parler d’entrée au CIO…
Propos recueillis par Sophie Chanaron

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