Du classique pas si classique aux Arcs

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La 46e édition de l’Académie-Festival de Musique des Arcs, du 17 juillet au 2 août, fait un clin d’oeil aux 50 ans de la station. Et se met à l’heure hongroise en plongeant dans un répertoire qui ne se résume pas à Liszt et Bartok !

Aux Arcs, sport et culture font bon ménage depuis 50 ans ou presque ! Au début des années 70, Roger Godino, co-fondateur de la station, a demandé à Yves Petit-Devoize d’imaginer un événement culturel estival. L’Académie Festival de Musique des Arcs était née. Mixant festival et masterclass, sur le modèles des académies nord-américaines de Banff ou de Malboro, elle réunit des musiciens de renom pour jouer ensemble hors des sentiers battus. Mais aussi transmettre leur savoir à des virtuoses en herbe et faire partager le fruit de cette rencontre entre maîtres et élèves aux estivants. Pour ces derniers, des concerts gratuits de haute volée et une proximité inédite avec les artistes. Quarante-six ans plus tard, le concept n’a pas changé, mais le programme s’est étoffé. Sur la quinzaine, l’événement propose plus de 40 concerts, tous offerts, des conférences et pléthores d’animations pour tous.
Pour la 46e édition, du 17 juillet au 2 août, le jeune compositeur français Benjamin Attahir, en résidence aux Arcs, sera l’un des protagonistes de la journée spécial 50 ans de la station, le 31 juillet, avec le pianiste Michel Dalberto et l’orchestre de l’Académie-Festival. Au menu, un concert des stagiaires à la Couple, une carte blanche dédiée à Roger Godino à l’église d’Hauteville-Gondon, tout juste rénovée, et un grand concert des 50 ans au centre Bernard Taillefer, avec quatre pièces musicales.

Photo de Une : concert à l’extérieur ©Académie Festival de Musique des Arcs

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